Oxynorm 50 mg/ml, solution injectable, boîte de 5 ampoules de 1 ml
- À propos
- Indications: pourquoi le prendre?
- Contre indications: pourquoi ne pas le prendre?
- Posologie et mode d'administration
- Mises en garde et précautions d'emploi
- Grossesse et allaitement
- Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
- Effets indésirables
- Surdosage
- Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
- Propriétés pharmacologiques
- Durée et précautions particulières de conservation
Oxynorm est un médicament mis à disposition dans le milieu hospitalier sous forme de solution injectable (5) à base de Oxycodone chlorhydrate (50 mg/mL).
Mis en vente le 19/08/2008 par MUNDIPHARMA. Médicament pris en charge par les collectivités et rétrocédable par les pharmacies hospitalières par prolongation des conditions d'inscription.
À propos
- Oxycodone
Principes actifs
- Citrique acide (E330)
- Sodium citrate (E331)
- Sodium chlorure
- Chlorhydrique acide (E507)
- Sodium hydroxyde (E524)
- Eau pour préparations injectables
- Présence de :
- Sodium
Excipients
système nerveux
analgésiques
opioides
alcaloïdes naturels de l'opium
oxycodone
Classification ATC
Statut
Ce médicament est autorisé sur le marché depuis le 19/08/2008.
Indications : pourquoi le prendre?
Indications d’utilisation- Douleur sévère
- Douleur cancéreuse
Indications thérapeutiques
Douleurs chroniques d'origine cancéreuse, intenses ou rebelles aux antalgiques de niveau plus faible, chez l'adulte (à partir de 18 ans).
Contre indications : pourquoi ne pas le prendre ?
Ce médicament ne doit jamais être utilisé dans les cas suivants :
· enfant de moins de 18 ans,
· hypersensibilité connue à l'oxycodone ou à l'un des composants de ce médicament,
· insuffisance respiratoire décompensée,
· insuffisance hépatocellulaire sévère,
· allaitement,
· association à Ia buprénorphine, Ia nalbuphine, Ia pentazocine.
Posologie et mode d'administration
Réservé à l'adulte à partir de 18 ans.
La relation dose-efficacité-tolérance est très variable d‘un patient à l'autre. Il est donc important d'évaluer fréquemment l'efficacité et la tolérance, et d'adapter la posologie progressivement en fonction des besoins du patient (voir paragraphe « Adaptation de la posologie »). Il n'y a pas de dose maximale tant que les effets secondaires peuvent être contrôlés.
Ordre d'équivalence des doses selon la voie d'administration, à titre indicatif :
Voie orale | SC | IV |
1 mg | 0,5 mg | 0,5 mg |
L'administration simultanée d'oxycodone par deux voies d'administration différentes est à éviter car elle expose à un risque de surdosage en raison des différences de cinétiques entre les différentes voies d'administration orale et injectable.
Voies d'administration
· injection intraveineuse ou perfusion intraveineuse.
· injection sous-cutanée ou perfusion sous-cutanée.
Posologie
La posologie dépend de l'intensité de la douleur, de l'état général du patient et des traitements antérieurs ou concomitants.
Réservé à l'adulte (à partir de 18 ans).
Traitement des douleurs chroniques d'origine cancéreuse
Voies IV et Sous-cutanée
· Chez les patients recevant des morphiniques pour la première fois : La dose initiale est de 0,125 mg/kg/jour (environ 7,5 mg/jour), de préférence en perfusion continue plutôt qu'en injections itératives toutes les quatre à six heures.
· Chez les patients recevant déjà de l'oxycodone par voie orale :
La dose initiale est calculée à partir du ratio suivant: 2 mg d'oxycodone orale est équivalent à 1 mg d'oxycodone injectable. Ce ratio est donné à titre indicatif, la variabilité inter-patient nécessite de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée.
· Chez les patients présentant des douleurs d'intensité variable dans la journée :
Il est possible d'utiliser un système d'analgésie contrôlée par le patient ; la perfusion continue à la posologie habituelle sera alors associée à des bolus auto administrables, dont la dose sera environ équivalente à une heure de perfusion, suivie d'une période sans injection possible (période réfractaire) de 5 minutes minimum.
A titre indicatif, le rapport d'équianalgésie oxycodone injectable/morphine injectable est en moyenne de 1:1. Ce ratio est donné à titre indicatif, la variabilité inter-individuelle nécessitant de titrer prudemment jusqu'à obtention de la posologie appropriée.
· Patients porteurs d'une insuffisance hépatique non sévère, d'une insuffisance rénale, patients âgés :
L'administration d'oxycodone doit être prudente. Débuter le traitement à la dose la plus faible en titrant prudemment jusqu'à obtention de l'antalgie.
Adaptation de la posologie
Elle se justifie lorsque les doses antérieurement prescrites se révèlent insuffisantes.
Arrêt du traitement
Il convient de réduire les doses d'oxycodone progressivement afin d'éviter l'apparition d'un syndrome de sevrage.
Mises en garde et précautions d'emploi
Mises en garde
Dans le contexte du traitement de la douleur chronique d'origine cancéreuse, l'augmentation des doses, même si celles-ci sont élevées, ne relève pas le plus souvent d'un processus d'accoutumance.
Une demande pressante et réitérée nécessite de réévaluer fréquemment l'état du patient. Elle témoigne le plus souvent d'un authentique besoin en analgésique, à ne pas confondre avec un comportement addictif.
L'oxycodone est un stupéfiant pouvant donner lieu, en dehors de son utilisation dans le traitement de la douleur, à une utilisation détournée (mésusage) : dépendance physique et psychique peuvent alors s'observer, ainsi qu'une tolérance (accoutumance) se développant à la suite d'administrations répétées.
Des antécédents de toxicomanie ne contre-indiquent toutefois pas la prescription d'oxycodone si celle-ci apparaît indispensable au traitement de la douleur.
En cas de traitement prolongé, l'arrêt brutal entraîne un syndrome de sevrage, caractérisé par les symptômes suivants : anxiété, irritabilité, frissons, mydriase, bouffées de chaleur, sudation, larmoiement, rhinorrhée, nausées, vomissements, crampes abdominales, diarrhées, arthralgies.
L'apparition de ce syndrome de sevrage sera évitée par une diminution progressive des doses.
L'oxycodone n'est pas adaptée au traitement des pharmacodépendances majeures aux opiacés.
Ce médicament contient 0,121 mmol/ml de sodium. A prendre en compte chez les patients suivant un régime hyposodé strict.
Ce médicament est GENERALEMENT DECONSEILLE dans les cas suivants :
· grossesse,
· association avec l'alcool
Précautions particulières d'emploi
L'oxycodone doit être utilisée avec précaution dans les cas suivants :
HypovoIémie
En cas d'hypovolémie, l'oxycodone peut induire un collapsus. L'hypovolémie sera donc corrigée avant l'administration d'oxycodone.
Insuffisance rénale
L'élimination rénale de l'oxycodone, sous la forme d'un métabolite actif, impose de débuter le traitement à posologie réduite, en adaptant par la suite, comme chez tout patient, les doses ou la fréquence d'administration à l'état clinique.
Lorsque l'étiologie de la douleur est traitée simultanément :
II convient alors d'adapter les doses d'oxycodone aux résultats du traitement appliqué.
Chez l'insuffisant respiratoire
La fréquence respiratoire sera surveillée attentivement. La somnolence constitue un signe d'appel d'une décompensation.
Il importe de diminuer les doses d'oxycodone lorsque d'autres traitements antalgiques d'action centrale sont prescrits simultanément, car cela favorise l'apparition brutale d'une insuffisance respiratoire.
Chez l'insuffisant hépatique
L'administration d'oxycodone doit être prudente et accompagnée d'une surveillance clinique.
Chez les personnes âgées ou fragilisées
Leur sensibilité particulière aux effets antalgiques des opioïdes, mais aussi à leurs effets indésirables centraux (confusion) ou d'ordre digestif, associée à une baisse physiologique de la fonction rénale, doit inciter à la prudence, en instaurant notamment le traitement à la dose la plus faible, et en augmentant très progressivement la posologie.
Les co-prescriptions, lorsqu'elles comportent des antidépresseurs tricycliques notamment, augmentent a fortiori la survenue d'effets indésirables comme la confusion ou la constipation.
Une pathologie urétro-prostatique, fréquente dans cette population, expose au risque de rétention urinaire.
L'usage de l'oxycodone ne doit pas pour autant être restreint chez la personne âgée dès lors qu'iI s'accompagne de ces précautions.
Constipation
II est impératif de rechercher et prendre en charge une constipation ou un syndrome occlusif avant et pendant le traitement.
Traumatisme crânien
En raison du risque d'augmentation de la pression intracrânienne, l'utilisation d'oxycodone au cours des douleurs chroniques devra être prudente.
Troubles mictionnels
II existe un risque de dysurie ou de rétention d'urine, principalement en cas d'adénome prostatique ou de sténose urétrale.
Chez les patients présentant un myxoedème, une hypothyroïdie, une maladie d'Addison, une pancréatite, une hypotension, une psychose d'origine toxique :
L'administration d'oxycodone doit être prudente et accompagnée d'une surveillance clinique.
Sportifs
L'attention des sportifs doit être attirée sur le fait que cette spécialité contient du chlorhydrate d‘oxycodone et que ce principe actif est inscrit sur la liste des substances dopantes.
Grossesse et allaitement
Grossesse
Les études chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
L'oxycodone s'est révélé mutagène lors d'un test in vitro (voir rubrique Données de sécurité précliniques).
En clinique, il n'existe pas actuellement de données suffisamment pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique du chlorhydrate d'oxycodone lorsqu'il est administré pendant la grossesse.
En fin de grossesse, des posologies élevées, même en traitement bref, sont susceptibles d'entraîner une dépression respiratoire chez le nouveau-né.
Au cours des trois derniers mois de la grossesse, la prise chronique de chlorhydrate d'oxycodone par la mère, et cela quelle que soit la dose, peut être à l'origine d'un syndrome de sevrage chez le nouveau-né avec irritabilité, vomissements, convulsions et létalité accrue.
En conséquence, l'utilisation du chlorhydrate d'oxycodone est déconseillée au cours de la grossesse.
En fin de grossesse, en cas de prises ponctuelles élevées, de traitement chronique, voire de toxicomanie, une surveillance néo-natale doit être envisagée, afin de prévenir les risques de dépression respiratoire ou de syndrome de sevrage chez l'enfant.
Allaitement
L'oxycodone peut être excrétée dans le lait maternel et engendrer une dépression respiratoire du nouveau-né. En conséquence, l'oxycodone ne doit pas être administrée aux femmes qui allaitent.
Interactions avec d'autres médicaments et autres formes d'interactions
Il faut prendre en compte le fait que de nombreux médicaments ou substances peuvent additionner leurs effets dépresseurs du système nerveux central et contribuer à diminuer la vigilance. Il s'agit des dérivés morphiniques (analgésiques, antitussifs et traitements de substitution), des neuroleptiques, des barbituriques, des benzodiazépines, des anxiolytiques autres que les benzodiazépines (par exemple le méprobamate), des hypnotiques, des antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), des antihistaminiques H1 sédatifs, des antihypertenseurs centraux, du baclofène et du thalidomide.
Associations contre-indiquées
+ Morphiniques agonistes-antagonistes (buprénorphine, nalbuphine, pentazocine)
Diminution de l'effet antalgique, par blocage compétitif des récepteurs, avec risque d'apparition d'un syndrome de sevrage.
Associations déconseillées
+ Naltrexone
Risque de diminution de l'effet antalgique. Si nécessaire, augmenter les doses du dérivé morphinique.
+ Alcool
Majoration par l'alcool de l'effet sédatif des analgésiques morphiniques. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines. Éviter la prise de boissons alcoolisées et de médicaments contenant de l'alcool.
Associations à prendre en compte
+ Autres analgésiques morphiniques agonistes (alfentanil, codéine, dextromoramide, dextropropoxyphène, dihydrocodéine, fentanyl, hydromorphone, morphine, péthidine, phénopéridine, rémifentanil, sufentanil, tramadol)
+ Antitussifs morphine-like (dextrométhorphane, noscapine, pholcodine)
+ Antitussifs morphiniques vrais (codéine, éthylmorphine)
+ Barbituriques
+ Benzodiazépines et apparentés
Risque majoré de dépression respiratoire, pouvant être fatale en cas de surdosage
+ Autres Médicaments sédatifs : autres analgésiques morphiniques, barbituriques, benzodiazépines, antidépresseurs sédatifs (amitriptyline, doxépine, miansérine, mirtazapine, trimipramine), antihistaminiques H1 sédatifs, anxiolytiques autres que benzodiazépines (méprobamate), hypnotiques, neuroleptiques, antihypertenseurs centraux, thalidomide, baclofène
Majoration de la dépression centrale. L'altération de la vigilance peut rendre dangereuses la conduite de véhicules et l'utilisation de machines
Effets indésirables
Les effets indésirables les plus fréquents aux doses habituelles sont la constipation, la somnolence, une confusion, des nausées et vomissements.
En cas d'administration chronique, la constipation ne régresse pas spontanément et doit donc être prise en charge. En revanche, somnolence, nausées et vomissement sont en règle générale transitoires et leur persistance doit faire rechercher une cause associée.
Tous ces effets, et notamment la constipation, sont prévisibles et doivent donc être anticipés afin d'optimiser le traitement. Ils peuvent nécessiter une thérapeutique correctrice.
On peut également noter :
· confusion, sédation, excitation, cauchemars, plus spécialement chez le sujet âgé, avec éventuellement hallucinations,
· céphalées, vertiges,
· dépression respiratoire, avec, au maximum, apnée,
· augmentation de la pression intracrânienne, qu'il convient de traiter dans un premier temps,
· dysurie et rétention urinaire, principalement en cas d'adénome prostatique ou de sténose urétrale.
De rares hypotensions ou bradycardies graves ont été décrites.
Surdosage
Les signes d'un surdosage en oxycodone sont : une dépression respiratoire, un myosis extrême, une hypotension, une hypothermie, un coma pouvant être fatal dans les cas les plus graves.
La somnolence constitue un signe d'appel précoce de la décompensation respiratoire.
Conduite d'urgence :
Ventilation assistée, avant réanimation cardio-respiratoire en service spécialisé.
En cas de surdosage massif, traitement par la naloxone par voie intraveineuse.
Chez les sujets physiquement dépendants de l'oxycodone, la naloxone doit être administrée avec précaution, car elle peut provoquer une réversion brutale ou totale des effets opioïdes, et provoquer des douleurs ou un syndrome de sevrage aigu.
Effet sur l'aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
En raison de la baisse possible de vigilance induite par ce médicament, l'attention est attirée sur les risques liés à la conduite d'un véhicule et à l'utilisation d'une machine.
Propriétés pharmacologiques
Classe pharmacothérapeutique : analgésique opioïde, code ATC : N02AA05.
L'oxycodone est un agoniste opioïde pur.
Son action antalgique est similaire qualitativement à celle de la morphine.
L'effet thérapeutique est principalement analgésique, anxiolytique, antitussif et sédatif.
Les études de pharmacocinétique de la solution injectable d'OXYNORM chez le volontaire sain ont montré que la biodisponibilté de l'oxycodone est équivalente par voie sous-cutanée ou par voie intraveineuse lorsqu'elle est administrée soit par bolus soit par perfusion continue pendant 8 heures.
Après administration, l'oxycodone se distribue dans l'ensemble de l'organisme.
La liaison aux protéines plasmatiques est d'environ 45 %.
La demi-vie d'élimination est d'environ 3 heures.
L'oxycodone est métabolisée en noroxycodone et en oxymorphone ; l'oxymorphone possède une activité antalgique, mais les faibles concentrations plasmatiques retrouvées ne sont pas considérées comme contribuant à l'activité pharmacologique de l'oxycodone.
Le chlorhydrate d'oxycodone et son principal métabolite, Ia noroxycodone, sont éIiminés par voie urinaire.
Durée et précautions particulières de conservation
Durée de conservation:
5 ans.
La stabilité physico-chimique de la solution injectable non diluée ou diluée à 1 mg/ml dans du chlorure de sodium à 0,9 %, du glucose à 5 % ou de l'eau pour préparations injectables a été démontrée pendant une période de 7 jours à 25°C et à 37° C avec des dispositifs nécessaires à l'injection tel que seringues en polypropylène ou polycarbonate, poches PVC ou EVA et tubulure PVC.
Toutefois, d'un point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d'utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après dilution et avant utilisation sont de la seule responsabilité de l'utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre + 2° C et + 8° C, sauf en cas de dilution réalisée en conditions d'asepsie dûment contrôlées et validées.
Précautions particulières de conservation :Pas de précautions particulières de conservation.
Pour les conditions de conservation du médicament non dilué ou dilué, voir rubrique Durée de conservation.
Ce médicament ne doit pas être mélangé avec d'autres médicaments à l'exception de ceux mentionnés dans la rubrique Instructions pour l'utilisation, la manipulation et l'élimination :
Ce médicament peut être dilué à la concentration de 1 mg/ml dans du chlorure de sodium 0,9%, du glucose 5% ou de l'eau pour préparations injectables.
La solution injectable d'Oxynorm non diluée ou diluée à 1 mg/ml dans du chlorure de sodium à 0,9 %, du glucose à 5 % ou de l'eau pour préparations injectables est compatible avec des dispositifs nécessaires à l'injection tel que seringues en polypropylène ou polycarbonate, poches PVC ou EVA et tubulure PVC.
Ne pas utiliser le contenu d'une ampoule déjà entamée.
Ce médicament peut être dilué à la concentration de 1 mg/ml dans du chlorure de sodium 0,9%, du glucose 5% ou de l'eau pour préparations injectables.
La solution injectable d'Oxynorm non diluée ou diluée à 1 mg/ml dans du chlorure de sodium à 0,9 %, du glucose à 5 % ou de l'eau pour préparations injectables est compatible avec des dispositifs nécessaires à l'injection tel que seringues en polypropylène ou polycarbonate, poches PVC ou EVA et tubulure PVC.
Prélever le contenu de l'ampoule dans des conditions d'asepsie rigoureuse avec du matériel à usage unique.
Comme tous les produits à usage parentéral, contrôler visuellement pour vérifier l'absence de particules ou de changement de couleur.
1 ml en ampoule en verre incolore de type I ; boîte de 5 ampoules.